Trois grandes familles produisent des richesses pour satisfaire nos besoins. On retrouve parmi elles les productions « publiques », les productions des entreprises « classiques » et les productions du tiers secteur. L’Economie Sociale et Solidaire se situe dans cette dernière famille.
La Loi Hamon de 2014 définit l’ESS à partir de quatre principes et de statuts. On y retrouve des associations, des coopératives, des mutuelles, des fondations et des entreprises sociales ayant reçu l’agrément ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale).
L’ESS c’est aussi 10% de l’emploi en France, soit 2,3 millions de salariés.
Ce modèle d’entreprendre s’appuie sur des valeurs communes qui sont :
- Un modèle économique spécifique, puisque les excédents sont réinvestis au service du projet
- Une gouvernance démocratique (une personne = une voix)
- La liberté d’adhésion
- La qualité du service rendu sur le territoire, à ses habitants
- Des emplois générés non délocalisables pour un développement local, durable et solidaire
L’ESS, ça regroupe qui ?
Toute personne qui souhaite adhérer aux structures de l’économie sociale et solidaire, que ce soit en tant que bénévole, sociétaire, entrepreneur, salarié ou bien en tant que particulier.
On y retrouve des structures œuvrant dans divers domaines d’activité tel que l’enfance et la jeunesse, l’insertion, l’agriculture paysanne, l’emploi et la formation, la culture, le handicap, l’économie circulaire etc.
L’ESS, pourquoi ?
Un projet économique et un projet social ou collectif, pour répondre à un besoin local
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